Les grands événements, comme les Jeux olympiques, sont des aubaines pour les cybercriminels. Comme l’explique Forbes, les entreprises, concernées par les données personnelles, confidentielles ou par des transactions financières importantes, doivent faire preuve d’une extrême vigilance.
Les applications critiques
Afin de prévenir l’utilisation massive des systèmes d’information, il convient de débuter par un recensement des ressources mises à disposition et des applications critiques. Il faut précisément porter une attention sur celles qui sont indispensables et obligatoirement nécessaires au fonctionnement de l’organisation et dont l’indisponibilité peut avoir des effets immédiats et importants sur les opérations. Il faut donc prendre soin de les protéger, et, en cas de défaillance, de pouvoir les rétablir dans un délai très court.
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La Scalabilité
S’il n’existe pas déjà une solution de « débordement » dans le cloud, il faut être vigilant concernant les applications critiques et les ressources dont l’utilisation peut possiblement augmenter. En cas de débordements, des connexions, des outils et des automatismes nécessaires augmenteront la charge, sans amputer la qualité des services fournis. Pour rappel, dans le cloud, comme dans toute autre plateforme, les fournisseurs cloud ne garantissent pas la protection des données et sont juste tenus d’assurer un niveau de disponibilité des services.
Les reprises d’activité
Les grands événements, qu’ils s’agissent des Jeux olympiques ou autre, n’est pas à l’abri d’incidents de nature criminelle. Si cela arrive, les organisations doivent être en mesure de rétablir très rapidement leurs opérations afin de continuer de fournir leurs services durant la période de l’événement. Elles doivent donc instaurer des procédures de reprise d’activité, éprouvées et susceptibles de limiter les interruptions en cas de sinistre. Ces procédures nécessitent des tests grandeur nature.
Un personnel formé et aguerri
De nouvelles formations doivent être dispensées pour faire face à ces circonstances particulières. A minima, il est nécessaire de rappeler les bonnes pratiques les plus élémentaires en termes de cybersécurité. Comme les cybercriminels utilisent des méthodes avancées d’ingénierie sociale, en s’appuyant aussi les technologies de l’IA, il est important que tout le monde soit sensibilisé à ce phénomène.
